En 1924, en marge et à la périphérie des Jeux Olympiques de Paris, écrivains et artistes (Montherlant, Giraudoux, Prévost, Cocteau, Morand, Honegger, Fujita, etc.) se sont exprimés, romans, pièces musicales ou tableaux à l’appui. Cent ans plus tard, à l’occasion des J.O. de Paris 2024, leurs lointains héritiers se sentent-ils aussi concernés ? Et, plus généralement, le sport est-il, aujourd’hui, une source d’inspiration artistique reconnue et appréciée ?
Trois lauréats du Grand Prix littérature et sport participeront à cette table ronde : , Alain Freudiger en 2020 — Le mauvais génie (Éditions La baconnière), Bernard Chambaz, en 2014 -Dernières nouvelles du martin-pêcheur (Flammarion), Benoît Heimermann, en 2002 — Tabarly (Grasset). Thomas Bauer, président de l’association des écrivains sportifs animera la discussion.